Orion Attis ♣ Arès, je suis ton esclave, ton héritier, digne guerrier.
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 Orion Attis ♣ Arès, je suis ton esclave, ton héritier, digne guerrier.

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Orion Attis.
Orion Attis
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Orion Attis ♣ Arès, je suis ton esclave, ton héritier, digne guerrier. Vide
MessageSujet: Orion Attis ♣ Arès, je suis ton esclave, ton héritier, digne guerrier.   Orion Attis ♣ Arès, je suis ton esclave, ton héritier, digne guerrier. EmptyVen 27 Aoû - 11:16




Attis
Orion
Fils/Fille d'Icare

J'ai 25 années. Je porte avec fierté mes racines athéniennes. Qu'en est-il de mon rang social ? Je suis plutôt modeste quant à mon avis sur la nouvelle démocratie d'Athènes: elle aspire à de nouvelles libertés, qui pourrait en refuser les avantages ? Les grands orateurs ont décidé de cette puissance pour le peuple athénien, peut-on seulement protester ? Pour moi, elle n'a pas changé grand-chose. Je baigne dans un monde où la caste ne fait pas le guerrier, je demeure méfiant mais j'ai grande confiance en l'Assemblée. Les divinités me regardent-elles ? Je l'ignore. Néanmoins, je voue un culte particulier à Arès, le grand Dieu de la Guerre. Je lui dédie ma vie, ma carrière, mes épaules et mes blessures. Je n'attends qu'un signe de sa part, la grande consécration qui feraient de mes mains celles d'un guerrier de l'armée. Enfin je crains la colère de nos Dieux. Ils nous observent de là-haut, surveillent le moindre de nos actes. S'ils ont la possession de nos âmes, ils peuvent également décider de notre souffle. Je ne donne pas chère de l'équilibre si fragile d'Athènes le jour où ils entreront dans une colère noire.



JE SUIS MA LÉGENDE.

« J’ai gagné ! » L’adversaire déchu laissa tomber son arme à terre et croisa ses petits bras contre sa poitrine en guise de protestation. Il donna un coup de pied au bâton qu’il venait d’abandonner puis il toisa le vainqueur du regard. Orion Attis, enorgueilli de sa nouvelle victoire sautillait sur place. C’était toujours la même rengaine. Ses amis ne voulaient jamais se battre avec lui, ils ne voulaient jamais relever le défi. Pouvait-on vraiment avoir envie de tenter un combat avec un gagnant déjà trouvé ? Tout le monde le savait. Le père d’Orion était maitre d’armes. Son travail consistait à entrainer les futurs guerriers au combat, à apprendre à ceux qui le voulaient comment manier les armes. Il était évident que son fils avait hérité des mêmes qualités. Quand Icare avait appris que son premier enfant était un garçon, immédiatement il l’imaginait reprendre le flambeau. Il était d’origine modeste mais il tenait vraiment à son rôle dans la cité, il voulait qu’il soit perpétué dans les générations. Si la paternel appartenait au peuple bas d'Athènes, ses services rendus à l'armée invincible de la cité lui valait depuis bien longtemps un respect que personne n'oserait remettre en cause. Il n'avait jamais aspiré à rejoindre les rangs guerriers et favorisait la pédagogie à l'attaque. Aussitôt qu’il sut marcher, on mit un bâton dans la main d’Orion. Aussitôt qu’il sut parler, il sut comment engager un duel. Il baignait dans la guerre avant même de n’avoir pu choisir sa voie. Elle était toute tracée. Mais Orion aimait plaire à son paternel. Il portait fièrement son nom et excellait dans tous les sports. Il n’avait peut-être pas l’éducation intellectuelle qui promet les érudits à un grand avenir mais il avait l’ambition et la volonté. Le petit garçon était déjà très turbulent. Sa mère, trop occupée à la maison avec sa petite sœur de 4 ans sa cadette, ne tentait plus de le canaliser. C’était peine perdue. Ce garçon serait un bon Athénien, peu importe ses défauts. En effet, déjà très jeune, sa fierté l'étouffait d'un orgueil dont il n'avait cesse d'exposer. Le petit garçon jeta un regard à son ancien camarade de jeu qui s'était assis dans la poussière du chemin de terre devenu champ de bataille. Tandis qu'il expiait un souffle court pour repousser la mèche brune qui tombait devant ses yeux bleus, il lança à son adresse: « Comme ton père, tu finiras derrière un étal. Moi je porterai fièrement le plastron athénien et crois-moi que je te retrouverai pour une nouvelle bataille. »

« Nous partons fils, je compte sur toi. » Tels étaient les derniers mots de son père avant qu’il ne prenne la route avec sa femme vers une contrée plus paisible. Orion avait 22 ans, sa sœur Daphné tout juste 18 années. L’âge où on est censé pouvoir s’occuper de soi-même. La famille du Grec avait tout juste amassé assez d’économies pour laisser leurs enfants à leur destin à Athènes. Eux ne supportaient plus le mouvement de la foule, la vivacité de la ville. Les changements qui s'opéraient en silence dans les grands collines aux accents politiques assombrissaient leurs vieux os d'une crainte de la nouveauté. Ils s’étaient retirés en campagne pour mieux pouvoir finir leurs jours ensemble tous les deux. Orion n’avait émis aucune opposition. Il était temps qu’il devienne indépendant et même si on lui confiait la vie de sa cadette, il avait l’impression de connaitre la liberté. C’était à lui de nourrir la famille, c’était à lui d’entretenir la réputation d’Icare. Bientôt, il devrait devenir celui qui enseigne et non plus l’élève. Fier, il avait hâte même si le sort de Daphné l’inquiétait davantage que son propre sort. Comment serait-il capable de surveiller la prunelle de ses yeux alors qu’il travaillerait toute la journée durant ? Car oui, Daphné est probablement la personne la plus importante aux yeux d’Orion. Très proches, ils ont toujours entretenu cette complicité infinie. Pour lui, pas question de l’abandonner. Hors de question qu’elle s’unisse à quelqu’un qui ne saurait pas subvenir à ses besoins. Un peu trop sur son dos, il l’était mais c’était plus fort que lui. Il trouverait un bon parti pour sa sœur, n’était-il pas en charge d’elle maintenant ? Alors qu’il regardait s’éloigner ses parents à pied, chargés des quelques affaires, il se tourna vers Daphné. Séchant de son pouce les quelques larmes sur sa joue, il embrassa son front avant de retourner à la modeste maison qui leur appartenait maintenant. Il fallait que Zeus leur donne du courage. On se murmurait que la démocratie était sur le point d’être établie. Ce changement effrayait tous les Athéniens. On redoutait les conséquences de cette nouvelle décision. Qu’allaient penser les Dieux de ce changement sur le territoire sur lequel ils régnaient depuis le début des temps ? Il fallait prier. Prier pour que tout se passe bien. Et Orion ne comptait pas perdre de temps alors que ses pas se dirigeaient lentement jusqu'au temple de marbre qui dominait l'acropole.

« Que tu me donnes la force, Arès. Ta bravoure et ta puissance. » Ainsi s’acheva la prière murmurée par Orion. Voila 3 ans qu’il était laissé à son propre sort. Depuis le départ de ses parents, beaucoup de choses avaient changé à Athènes. Tout devenait plus sombre, les valeurs autrefois prisées connaissaient lentement un déclin. Que se passait-il ? Orion l’ignorait et le redoutait. Chaque jour, il voyait défiler devant lui des hommes en quête de puissance physique. Des frères, des maris, des pères de famille ou encore des adolescents qui craignaient de devoir prendre les armes plus tôt que prévu. L’armée athénienne était en active préparation. Visiblement, quelque chose n’allait pas. Orion priait tous les jours les Dieux et particulièrement Arès. Les prêtresses avaient crié au blasphème, les Dieux auraient exprimé leur mécontentement. Leur colère serait la pire chose qui puisse arriver à la cité. Que devrait-on combattre ? Les hommes ou les Dieux eux-mêmes ? Orion voyait cependant là l’occasion probable de pouvoir réaliser son but premier : faire partie de l’armée athénienne. Très sélective, elle ne prenait que les meilleurs, c’est ce qui faisait sa réputation de guerriers invincibles. Pour l’instant il ne restait que le professeur qu’on écoutait et qu’on imitait. Rien de plus. Orion était connu de tous mais pas pour les raisons qu’il désirait. L’homme craignait le futur et ses évènements. Pouvait-on réellement devenir l'homme respecté quand son âme était rongé par des ambitions inavouables ? Après une offrande moindre qu’il déposa au pied de la statue de plusieurs mètres, il s’éclipsa du temple et reprit le chemin de son habitat. Qu’on les protège tous. Que l’Assemblée se modère. Que les Dieux les protègent et calment leurs ardeurs. Zeus, père fondateur, pardonne-nous.



L'ÂME D'HERCULE.

♣ Orion n’est pas franchement un homme qu’on cerne au premier abord. Ca a même tendance à en agacer certains. N’y a-t-il pas plus frustrant que d’avoir en face de soi un maitre d’armes sans savoir ce qu’il souhaite réellement ? Et pourtant Orion sait toujours ce qu’il veut. Athénien déterminé, quand il a quelque chose en tête, il est impossible de lui en faire sortir. Toute son enfance, il a appris la rigueur et surtout à se donner les moyens d’obtenir ce que l’on veut. Borné comme un âne, même si Orion est dans le mauvais chemin, il ne le reconnaitra pas, il foncera. Cet aspect est très utile à son travail, faisant de lui digne héritier du travail de son père. C’est un maitre d’armes réputé pour avoir formé les meilleurs soldats au même titre du paternel. Il est appliqué, il aime ce qui est bien fait et n’a pas de place pour l’à peu près. C’est pourquoi il se montre souvent autoritaire. Orion avoue qu’il aime donner des ordres et sentir qu’on lui obéit. Si ce défaut peut avoir quelques répercussions sur sa vie sociale, il n’en tient jamais compte. On pourrait croire qu'il représente le citoyen civilisé et docile qu'Athènes s'astreint à garder et ce n'est pas totalement faux. Si toutefois Orion n'est pas en accord avec tous les choix de la cité mère, Icare lui a malheureusement transmis la capacité à se taire face aux grandes institutions au prix de sa liberté de dire tout haut ce que les badauds murmurent tout bas.
Un autre aspect principal qui caractérise l’Athénien est son dynamisme. L'homme jette son trop-plein d'énergie dans une impatience qui a le don de rapidement irriter. Il fatigue les gens mais il l'assume parfaitement. Il ne tient pas en place et trouve toujours quelque chose à faire au sein de cette grande cité. D’un naturel plutôt sociable, il aime être accompagné par une ou plusieurs de ses connaissances mais il accepte plutôt la solitude. Assez indépendant, il déteste être au crochet d’une quelconque personne. Il fait partie des chanceux qui sont appelés hommes libres, il en profite de toute son âme. Avant d’accorder sa confiance, Orion parait toujours quelqu’un de méfiant. Il scrute, décrypte, cerne avant de daigner accorder de son temps. Il est rancunier et n’aimerait pas s’entourer d’habitants qui n’en valent pas la peine. On lui a inculqué des valeurs sûres et bien arrêtées sur lesquelles il ne compte pas tirer un trait. Si une attitude ou une personnalité ne lui plait pas, Orion n’hésitera pas à le faire remarquer. Une qualité ou un défaut ? En effet, il est très expressif. Il n’arrive que rarement à contenir ses émotions ou ses sentiments. Sa franchise en agace plus d’un mais sa subtilité est d’autant plus énervante. Si toutefois Orion parvient à se taire, son regard parle alors pour lui. Nul doute que vous saurez tôt ou tard ce qu’il pense de vous.
Quand on parvient à s’en faire un ami, Orion devient le plus loyal des hommes. Guerrier dans l’âme, il a un certain sens du sacrifice. Il donnerait beaucoup s’il estime que quelqu’un le mérite. Impulsif, il est capable de faire quelque chose de fou sur le moment. En général, il ne réfléchit pas vraiment quitte à ce que ça lui desserve, il préfère préserver sa spontanéité. Enfin Orion peut se vanter d’être de bonne compagnie. Charmeur, il aime la compagnie des jolies Athéniennes bien qu’il ne pense réellement à se marier. Il n’a pas encore accompli son destin. Toujours souriant, assez rieur, il profite de la vie comme s’il n’y aurait pas de lendemain. Orion a remis sa vie entre les mains des Dieux. Ils ont le droit de vie ou de mort sur son âme, il se dévoue entièrement à eux. Qui sait de quoi demain est fait ? Orion n’est pas devin, il est seulement Athénien. Un Grec fier et bien autant dans sa tête que dans ses spartiates.


♣ La première chose que pourraient se dire les Athéniens quand ils rendent visite à Orion, c’est la ressemblance frappante avec son père. Si le jeune homme a hérité de quelques traits de sa personnalité, il semble qu’il n’ait pas manqué de lui piquer quelques caractères physiques. D’une carrure assez imposante, il ne fait nul doute qu’il a acquis ces muscles au prix de longues heures d’entrainement. Ce n’est pas quelqu’un qui cherche à être parfait physiquement, il a tout simplement la passion du glaive. Pour protéger ce qui lui sert d’outil de travail, Orion a toujours sur lui un plastron de bonne qualité dans laquelle il a mis la plupart de ses économies. En d’autres occasions, il se contente de la tenue traditionnelle grecque mais il n’aime pas tellement se fondre dans le moule. Au niveau du visage, Orion a les traits très virils. Souvent sous le coup d’une émotion quelconque, quelques marques d’expression restent ancrées sur son visage et peuvent parfois lui donner un air d’ours mal léché. Ce n’est pas pour autant qu’il n’est pas sympathique. Bien qu’il soit sérieux dans son travail, il aura toujours le sourire aux lèvres. A force de passer toute la journée dehors, sa peau reste bronzée toute l’année. Mais approchons encore. Très dynamique, il a eu tout de même l’audace de garder une certaine longueur de cheveux qui lui tombent souvent devant les yeux. D’un châtain plutôt foncé, ils rejoignent la barbe qu’il garde tout le temps. Un air faussement négligé qu'il lui va finalement assez bien. Si son physique peut donner quelques indices sur la personnalité d'Orion, l’âme même de l’Athénien se reflète dans ses yeux. D’un bleu très clair, ils n’hésitent pas à sonder quiconque s’approche de lui, par méfiance. Finalement, Orion n’a pas un physique qui sort de l’ordinaire, il s’entretient juste et si on lui accorde du charme, il n’en a pas conscience. A vrai dire, est-ce que ça pourrait lui servir à mieux se battre ?


Pseudo et Âge: Dandan, et je dois avoir atteint les 19 ans..
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Code du règlement ? Je m'autovalide, pardi.


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